LES DEMANDES DE LA SOCIETE CIVILE CONGOLAISE
Les Demandes de la société civile dans la
Crise de Gouvernance au CONGO BRAZZAVILLE :
Des demandes fondées, régulières et recevables .
Après avoir opposé une fin de non recevoir à l’opposition , qui récusait l’organisation du référendum par la majorité actuelle au CONGO BRAZZAVILLE , aux fins de changer la constitution pendante du 20 janvier 2002, la société civile et non armée, représentée autour des plates formes FROCAD-IDC et surtout appuyée par les forces de la diaspora , s’atèle à repréciser aux yeux de la face des nations civilisées, , ses demandes fondées, régulières et recevables en Démocratie .
A/ AU PRINCIPAL : Sur les demandes fondées, régulières et recevables :
s’appuyant sur les principes généraux de droit qui font de la société civile, une partie civile dès lors que les prérogatives et protections reconnues à l’humain, lui manqueraient par arbitraire , la société civile Congolaise réunie au tour des sensibilités FROCAD-IDC et autres, après constat du REFUS de la RAISON et du DROIT POSITIF par les pouvoirs en place, reconfirme sa volonté d’appliquer la désobéissance civile et citoyenne sur toute l’étendue de la République ., aux fins d’un retour d’une situation de juré .
La tenue du scrutin référendaire dont les résultats ont été tirés à la courte paille et faisant par leur notoriété, un faux criminel en écriture publique , a démontré la volonté de passage en force par les pouvoirs publics vers un ETAT d’exception car , aux arguments de juré, ils ont répondu par le REJET non motivé et aux arguments de responsabilité et d’intérêt national, ils ont répondu par des arguments de polémique, refusant de voir le caractère fondé, régulier et recevable des demandes de la société civile . Ainsi, un autre rapport de force doit se créer et ayant pour but, le REJET de toutes les décisions prises de la tenue du scrutin à sa notoriété . Comme disait ABRAHAM LICOLN, « le silence devient un pêché , lorsqu’il prend la place de la protestation », et renchérissait JULES CESAR : « le danger que l’on pressant , mais que l’on ne voit pas, est celui qui trouble le plus », nous sommes forcés de constater que les forces démocratiques réunies au sein des plates formes FROCAD-IDC et au sein de notre dynamique DIASPORA doivent continuer à amplifier le caractère fondé, régulier et recevable de leurs réquisitions dont la cardinale reste la récusation du référendum ainsi que son amer fruit . Si par extra ordinaire, le caractère régulier, recevable et fondé de ses demandes rencontre toujours, une contre raison digne de faussaires et des partisans de l’imposture, alors l’éclosion d’un rapport de FORCE s’avère impératif, la
notion de circonstance exceptionnelle restant exubérante et reconnue en droit .
B/ SUBSIDIAIREMENT : De l’éclosion du RAPPORT DE FORCE :
il existe en droit et depuis que les nazis ont cessé d’exterminé ce qu’ils appelaient « des bougies inutiles ». des circonstances dites exceptionnelles, devant aller dans le durcissement des revendications, bien entendu sous couvert des lois et conventions internationales car disait JOHN KENNEDY : « a vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inéluctables les révolutions brutales » .
Dans la crise de gouvernance au CONGO BRAZZAVILLE, nous sommes sous le régime de la loi du plus fort car, la partie dominante abuse toujours de sa force, mettant la partie dominée dans une situation de faiblesse ou de concurrence . Même les lois, au moment de leur mise à notoriété, prennent acte des rapports de force . En créant le rapport de force , surtout quand on a le soutien du peuple, les parties en conflit peuvent être poussées à sortir de leur confrontation ou chacun peut être reconnu dans ses droits .
Le 27 septembre dernier à BRAZZAVILLE, on a vu un adminicule de rapport de force, le peuple tout entier se mobilisant et se rangeant du coté de la société civile et au détriment des faussaires. L’amplification de ce rapport de force doit se poursuivre et , tel sera le vestige cardinal de l’opposition actuelle, mettant en relief la pression internationale via notre dynamique diaspora.
Par ses demandes fondées, recevable et régulières, par l’éclosion du rapport de force, IL FAUT FAIRE FRONT jusqu’à la victoire .
Par MPC ( mouvement patriotique Congolais), formation politique en veilleuse à BRAZZAVILLE, faute de respect des lois .
Le comité de rédaction du FRONT COMMUN.
Fait à Paris, ce 15 novembre 2015 .
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