CANDIDATURE MOKOKO JMM

           LA CANDIDATURE de J M M MOKOKO :

Une VOIX Nouvelle contre la régression démocratique

                      Au CONGO BRAZZAVILLE

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Convaincu comme  d’autres références politiques que, les choses capitales qui ont été  dites  à l’humanité ont toujours été des choses simples et que souvent, «  la difficulté attire l’homme de caractère car c’est en l’étreignant  qu’il se réalise lui-même », JEAN MARIE MICHEL MOKOKO, à travers sa déclaration de candidature au titre du mois de février 2016,  nous donne une NOUVELLE VOIX, au sein de l’opposition  au CONGO BRAZZAVILLE, aux fins de récuser la régression  démocratique par laquelle brillent  les pouvoirs publics  actuels .

     Qualifiée injustement de radicale ou modérée, l’opposition  Congolaise depuis toujours, nonobstant sa réunification au sein des plates formes FROCAD-IDC, ne semble pas  faire preuve  d’assurance  et de responsabilité aux yeux du peuple tout entier, tenté souvent à la résignation devant la volonté  de confiscation de son pouvoir .

A la recherche d’une personnalité pouvant porter  de façon apodictique , ses aspirations  les plus significatives dont la plus cardinale reste l’ALTERNANCE, le peuple du CONGO BRAZZAVILLE  semble se retrouver  dans la vision  de JEAN MARIE MICHEL MOKOKO, récusant d’emblée la division du pays, l’hégémonie d’une région au détriment des autres . Il est vrai que  , délibérer est le fait de plusieurs, mais agir  est le fait d’un seul , peut être que le moment est - il venu ?

Rassembler ; rassurer et réconcilier constituent  un faisceau d’indice  faisant jurisprudence par opposition à celui relatif à l’atteinte à la surété de l’ETAT ; trouble à l’ordre public et tentative de renversement des institutions établies, par lequel brille trop souvent, le ministère public Congolais contre des paisibles citoyens .

Combattre la division des Congolais, le régne du rejet du mérite  constituent une POLITIQUE de grandeur, aux fins d’affermir les institutions démocratiques et le rassemblement du peuple du CONGO.

L’espérance du peuple tout entier, par cette nouvelle voix de l’opposition , doit reprendre son souffle car, «  la fin de l’espoir c’est le commencement de la mort  » renchérissait le Général DE GAULLE et l’heure est venue d’entendre encore ce son du tam tam Africain : «  tu tombes , tu te relèves » ( 1).

    Comme la sortie du ministre BOWAO de la tanière PCT (2), la candidature de JEAN MARIE MICHEL MOKOKO, mérite d’être observée avec beaucoup d’enthousiasme, le CONGO de nos jours devenu un souk  dans lequel, toute mue politique subséquente reste proscrite .

(1)           « Le SON du TAM TAM AFRICAIN », FRONT COMMUN 28 OCTOBRE 2015.

(2)           «  la Démission du ministre BOWAO »  FRONT COMMUN, 27 septembre 2015 ;

Pour le MPC ( mouvement patriotique Congolais)

Le comité de rédaction du FRONT COMMUN.

  Fait à Paris, le 21 février 2016 .