les procédures juridiques pendantes à Brazzaville, une chambre des évêques et un aveu de culpabilité dans le choix d'avocat

Les Procédures juridiques pendantes à Brazzaville :
On dirait une Chambre des évêques et
Un Aveu de culpabilité dans le choix d’avocat.
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Il est établi avec le juge CAZAMAYOR que, écarquiller les yeux, ne change jamais le regard, même en les gardant fermés ; il est aussi établi que, la réponse à une question, se trouve dans son caractère excessif et, tout ce qui est excessif, restant dérisoire ; il est aussi constant que, faute d’impartialité, d’indépendance et d’attachement à la déontologie, la justice ne peut être la signature de ceux qui la rendent .
Fort de ce postulat, nous sommes amenés à nous interroger davantage sur le caractère pendant de certaines procédures juridiques, reposant uniquement et la plupart du temps, sur une notion imprécise de haute trahison ou d’atteinte à la sûreté de l’ETAT au CONGO BRAZZAVILLE, avec des acteurs se réclamant du baron BENOIT MECHAIN, spécialiste Allemand de la fabrication des preuves ; il ressort de toutes ces procédures, un rejet des principes juridiques universels, une volonté de faire de l’incarcération, le principe et la liberté , l’exception , alors que c’est le contraire qui doit être recherché .il est aussi à déplorer l’absence grave d’un commencement d’exécution et la non prise en compte d’un certain délai, pouvant conduire à la perte du droit de punir . Nous pensons en particulier à l’affaire JEAN MARIE MICHEL MOKOKO et autres , devant lesquelles le ministère public fait fi de toute élégance , ignorant l’un de ses devoirs, qui est non seulement la défense de l’ordre public, mais surtout la défense de la liberté individuelle. Une certaine similitude apparait dans les procédures pendantes ou ayant obtenu autorité de la chose jugée ( terminées) avec la chambre des évêques siégeant au VATICAN dont le rôle ne peut surprendre
( AU PRINCIPAL) et, récusant la célèbre règle de JULES ROMAIN : « les grands hommes discutent les principes, les moyens discutent les idées et les médiocres discutent les hommes ».
Cette justice de type section spéciale est à proscrire à BRAZZAVILLE ( CONGO) et les prévenus et accusés par elle , doivent retrouvés la liberté ou être dispensés de peine, faute de démonstration de culpabilité et, le recours à confrère ou avocat se disant avoir de l’allure par l’araignée ou l’ortie , n’est pas signe de bonne administration de la justice, mais au contraire, un aveu de culpabilité( SUBSIDIAIREMENT) et d’imposture .
C’est quoi une atteinte à la sûreté de l’ETAT sans démonstration subséquente de culpabilité ; c’est quoi le refus de prise de réquisitions de non informer devant l’absence de preuve ou le défaut de base légale ; c’est quoi ce droit à la pelote ( nécessitant l’acquittement d’une somme) pour recevoir une plainte contre un ressortissant Congolais résidant à l’étranger et se disant indigné du régime politique pendant .
Non, cette justice repose sur une platitude extrême d’autant plus que,celui qui juge ou qui cherche, n’a pas toujours un compas dans l’œil, mais une erreur et, ce n’est pas le recours à Monsieur DUPOND MORETTI qui changera les choses car, pour dire oui, il faut pouvoir dire non et, la défense de la RUPTURE comme inaugurée par ANTIGONE contre les ordonnances du Roi CREON, sera la réponse à cette justice non restaurative et, nous plaidons l’évidence .
Par ADDCF
Association pour la Défense des Droits des CONGOLAIS en France.
La présidence

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